- Bedouins dans le désert du Néguev.
- Un des villages bédouins non reconnus du Néguev. Sur les cartes, ils n’existent pas.
- Un des villages bédouins non reconnus du Néguev. Au fond, la grande ville de Beersheva.
- Les Bédouins vivent dans des conditions précaires. Ils ne sont raccordés ni à l’eau, ni à l’électricité, ni aux égouts, ni aux grands axes routiers.
- Les Bédouins du Néguev vivent parfois dans de simples construction en tôle.
- Les Bédouins vivent dans des conditions précaires. Ils ne sont raccordés ni à l’eau, ni à l’électricité, ni aux égouts, ni aux grands axes routiers.
- Leurs villages n’étant pas reconnus par l’état d’Israël, ils sont obligés de vivre dans des conditions précaires.
- Leurs villages n’étant pas reconnus par l’état d’Israël, ils sont obligés de vivre dans des conditions précaires.
- Ils ne sont pas raccordés au réseau d’eau potable, ni aux égouts.
- Ils ne sont pas raccordés au réseau d’eau potable, ni aux égouts. Les conditions sanitaires sont donc mauvaises.
- De simples abris de tôle constituent souvent leurs lieux de vie. De plus, ils ne peuvent continuer à mener leur vie nomade.
- L’accès aux soins, à l’éducation est très limité car leurs villages ne sont pas reconnus. En cas d’urgence, les ambulances ne peuvent les trouver.
- Les maisons en tôle des Bédouins, comme cette mosquée, peuvent être détruites à tout moment par la « police verte » israélienne sous couvert de respect de l’environnement.
- Des ONG fournissent des soins aux Bédouins car ils n’ont pas de centres de santé à proximité.
- Ces ONG font également de l’éducation sanitaire sur la nourriture, par exemple.
- Des ONG fournissent des soins aux Bédouins : vaccinations, suivis des grossesses, alimentation, etc.
- Des ONG fournissent des soins aux Bédouins : vaccinations, suivis des grossesses, alimentation, etc.
- Les enfants sont vaccinés par ces ONG. Elles vérifient leur état de santé général.
- Ces Bédouins n’ont aucun accès au réseau électrique même s’ils habitent près de centrales électriques.
- Des ONG fournissent des soins médicaux aux Bédouins, qui, sinon, doivent aller très loin dans des conditions difficiles.
- Ces Bédouins n’ont aucun accès au réseau électrique même s’ils habitent à proximité de centrales électriques.
- Lorsque les maisons appartiennent à des juifs, elles sont raccordées au réseau électrique, d’eau potable, des égouts.
- Ce quartier a été construit à Beersheva pour les Bédouins pour les y regrouper sans tenir compte de leur mode de vie.
- Une ville nouvelle pour les Israéliens au milieu du désert du Néguev.
- Les Bédouins vivent de leur terre. Pour cela, ils préfèrent vivre dans des conditions difficiles que d’être regroupés dans des cités.
- Officiellement, leur terre ne leur appartient pas même s’ils en ont les titres de propriété…
- Malgré leurs conditions d’existence difficiles, ils restent très accueillants.
- Les Bédouins vivent de leur terre. Pour cela, ils préfèrent vivre dans des conditions difficiles que d’être regroupés dans des cités.
Les villages non reconnus du Néguev
Des pelouses vertes, de grandes maisons auxquelles on arrive par une route impeccable, une piscine et une clôture de camp retranché, parfois des gardes. De l’autre côté, les bidonvilles des autres habitants du Néguev, les Bédouins. Depuis 1948, le désert du Néguev forme la pointe de l’Etat d’Israël jusqu’à la mer Rouge. Il est depuis toujours peuplé de Bédouins, qui furent nomades, mais vivaient également dans des villes et villages. Au nom de la récupération de la terre par les juifs, l’existence de ces villages est niée depuis 1948. Cette non-reconnaissance entraîne des situations dramatiques : interdiction de construire des maisons en dur, destructions de récoltes, difficulté à être raccordé au réseau de distribution d’eau ainsi qu’au réseau électrique, absence de routes, égouts à ciel ouvert, écoles en préfabriqué obtenues de haute lutte, etc. Ce que propose le gouvernement israélien, c’est la construction de logements groupés, sans terre ou presque, sans services à part l’école, sans commerces. Des sortes d’immenses cités où règnent le chômage et la criminalité, pour un peuple dont la seule activité est pastorale et agricole, des lieux de désespoir pour les Bédouins habitués aux vastes étendues du désert.