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Le Mur à Jérusalem. Ici, il sépare le quartier à majorité palestinienne d’Abou Dis du reste de Jérusalem
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Passage à Bethlehem vers le check point séparant Jérusalem de Bethlehem.
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La colonie de Har Homa vue à travers les barbelés du check-point. Cette colonie sépare Jérusalem et Bethlehem.
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Clôture de sécurité séparant Bethlehem de la colonie de Har Homa. Elle a une largeur d’une vingtaine de mètres.
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Le check point entre le quartier d’Abou Dis et le reste de Jérusalem. Parfois, ce check point est contrôlé par l’armée israélienne, parfois non.
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Des moutons près du mur sur le Mont des Oliviers à Jérusalem. Les prés sont d’un côté, les bergeries de l’autre.
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Un pochoir sur le mur à Jérusalem
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Le Mur à Jérusalem. Ici, il sépare le quartier à majorité palestinienne d’Abou Dis du reste de Jérusalem.
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Cette partie est construite sur le Mont des Oliviers, haut lieu biblique, ainsi séparé en deux par cette muraille infranchissable.
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Le tracé du mur est difficilement compréhensible. Une maison est située dans le principal creux
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Le mur construit par Israël à Bethlehem.
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Gamins palestiniens près du mur séparant Bethléem des colonies.
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Ramallah, siège de l’Autorité palestinienne.
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Sur la route menant à Ramallah.
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Oliviers morts sur le Mont des Oliviers. Jérusalem.
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Point de passage de Qalandiya donnant accès à Ramallah et au reste de la Cisjordanie.
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Blocs du mur en attente de pose. Ramallah.
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Bethlehem. Cette palestinienne, Carmen est obligée de passer par là pour rentrer chez elle.
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Les fenêtres de Carmen donnent sur le poste militaire israélien du tombeau de Rachel. Deux impacts de balles sont visibles sur le mur.
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L’immeuble où habite Carmen. Le dernier étage est toujours occupé par l’armée israélienne.
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Deux symboles contradictoires. La mitraillette et un symbole de paix.
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Check point de Beit-Amin entre les villages d’Izbat-Salman et Azzum Atma dans le nord de la Cisjordanie lors d’une marche contre le mur la Freedom Walk.
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Un militant pour la paix palestinien fait un discours au check point de Beit Amin.
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Les soldats israéliens ont donné cinq minutes aux manifestants pour quitter les lieux avant qu’ils ne dispersent la manifestation.
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Check point de Beit-Amin entre les villages d’Izbat-Salman et Azzum Atma dans le nord de la Cisjordanie.
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check point de Beit-Amin entre les villages d’Izbat-Salman et Azzum Atma. LA route de droite est pour les Israéliens, celle de gauche pour les Palestiniens.
Du droit de circuler librement…
En suivant le mur et la clôture de sécurité érigés par l’Etat d’Israël le long d’une ligne (qui ne correspond à aucun traité ou accord international) séparant Israël de la Cisjordanie, ce n’est pas la tentative de se protéger contre des attaques suicides qui saute aux yeux, mais une entreprise d’asphyxie des Territoires occupés.
D’une part, toutes les routes bloquées ne sont pas surveillées, les passages de matières ou de personnes dangereuses n’est donc pas empêché ; d’autre part, le contrôle aux check points n’est pas systématique. D’où une incohérence par rapport aux buts avancés par les autorités.
Les rapports des ONG israéliennes Physicians for Human Rights ou B’Tselem (informations sur les violations des droits de l’homme) que cette entrave, renforcée par la mise en place de permis obligatoires de circuler (non seulement entre Israël et les territoires, mais également à l’intérieur des territoires de plus en plus morcelés) aggrave la crise économique qui sévit dans la région, empêche la formation des élites, entraîne des morts, ne serait-ce que par la lenteur voire l’impossibilité de transporter des malades…Nous vous proposons de suivre le mur et la « clôture », cheminant parmi les lieux saints de Jérusalem, Bethlehem ou Hébron…